L’énergie volcanique de la shaman punk franco-japonaise
De l’underground Tokyoïte aux nuits parisiennes, Maïa Barouh n’a cessé de briser les codes pour expérimenter d’improbables métissages. Chanteuse et flûtiste, celle que la presse allemande surnomme « la Shaman punk », crée sans entrave : mixant les chants ancestraux japonais, le rap, le groove, le punk, l’electro ou la chanson dans un même élan. Forte d’une technique vocale du Sud du Japon, Maïa Barouh dégage une énergie tellurique sur scène, véritable ode tribale à toutes celles et ceux qui aiment à danser sur les frontières.